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| Sujet: [Demande de RP] Maître-Assassin Victor Carter Lun 30 Juil - 14:59 | |
| Nom : Carter Prénom : Victor Race : Humain ~ Worgen Surnom : "Le loup solitaire" Classe HRP et RP : Voleur, Assassin Âge et origines : 32 ans. Originaire de Gilnéas. Métier, occupation : Aucun métier, ses simples occupations sont le lancer de couteau et l'entraînement au combat. Il aime également prendre beaucoup de risques. Alignement : Victor reste neutre et sociable, étant de la race humaine il combat pour l'Alliance dés que le combat l'appelle, il aime faire régner l'ordre et la sérénité avec ses belles paroles avant de dégainer sa lame. ___________________________________________ Sommaire :(1) Description physique (2) Caractéristiques générales (3) Histoire (Extensions pouvant être apportées) __(3.1) Mort de sa mère __(3.2) Les premières années __(3.3) L'enfance de Victor __(3.4) Mort de son père __(3.5) Similitude __(3.6) [Livre] Codex d'Edouard Carter (4) Résumé du personnage (5) Les amours de Victor (6) Victor en image (7) L'organisation XIII (Rajout) Liste d'équipement (1) Description physiqueVictor Carter est un homme avec d'épais cheveux bruns, des yeux de faucon gris et une puissante musculature. Il est plus grand que la moyenne (peut-être près de 2 mètres), avec de larges épaules. Lorsque tout commence pour lui il a environ vingt ans, à présent il en a trente huit. La couleur grise de ses yeux perçants est utilisée à plusieurs reprises pour l'identifier dans des livres dédiées à sa personne, ses écrits et ses mémoires. Plusieurs femmes de Azeroth prétendent qu'il est l'un des plus beaux hommes qu'elles aient jamais vu. Il est, au départ, modestement vêtu comme un guide forestier. Par la suite, il portera la tenue de Leonard, son père décédé : un pantalon blanc, une tunique blanche, une cape en fourrure de lynx et des serre-poignets d'argent renforcés de cuir gravés de symboles magiques. Ses vêtements sont resserrés par des lanières et une armure en cuir renforcé, léger mais résistant. Il porte à la ceinture des bourses contenant divers objets, dont deux contenant du sable blanc et du sable noir, il s'en sert de poudre à fumigène lorsqu'il est en danger. Généralement, il porte ses deux lames au niveau de ses hanches, dans un baudrier en cuir ouvragé. Autour du cou, il porte parmi d'autres pendentifs une grande dent triangulaire, (ça laisse à croire que c'est un croc de loup ou même d'ours) dans lequel est inscrit des symboles incompréhensibles. (2) Caractéristiques généralesVictor a toujours eu soif d'apprendre, d'en savoir plus, il a toujours été un chercheur de vérité et de connaissance. Il veut toujours savoir la vérité de toutes choses, il ne la craint pas. Il a un sens aigu de ce qui est bien et de ce qui est mal. Ses premiers dons étaient une connaissance profonde des plantes et des herbes, de même que le pistage, la poterie et le lancer de couteau ainsi que la sculpture. Il n'a jamais cherché le pouvoir, il a toujours simplement désiré être laissé tranquille. C'est donc à contrecœur qu'il deviendra le maître de l'Organisation, étant le nouveau seigneur, ayant été nommé responsable et fondateur. Un lien tissé plusieurs millénaires auparavant entre le responsable Edouard Carter de l'époque et les Treize, ses sujets, ainsi que son don naturel pour les deux formes de combat -corps à corps et à distance- le force malgré tout à assumer les rênes du pouvoir, aidé de son père décédé, il a réussi à prendre goût à l'Organisation et a réussi à contrôler sa rage à la mort de son père... Donnant un nouveau but à l'Organisation et formant un conseil, dédié à faire justice et protéger les innocents. Bien qu'il soit un assassin, Victor a toujours détesté les énigmes présentes dans la plupart des prophéties. Il les considère comme des insultes à l'honnêteté, et par principe les ignore. Il dénoue les énigmes de la vie, pas les mots, bien qu'il ait souvent besoin de le faire malgré lui. Au fil du temps, Victor découvre qu'il possède une puissance inconnue qu'il aurait hérédité de ses ancêtres, et qu'il est précisément un "Carter", descendant d'une lignée d'assassins tout comme lui. Ce dit "pouvoir" est semble-t-il la source de certaines de ses grandes habilités, principalement sa mortelle efficacité avec n'importe quel type de lame, que cela soit pour le combat ou pour la sculpture. (3) HistoireLe loup solitaire appelé alors Victor Carter est né et a vécu dans Gilnéas, dans les royaumes de l'Est. Jeune homme, il évitait autant que possible les conflits. La mort de sa mère ayant été causée par la colère, il ne s'est jamais autorisé à perdre son calme, et pouvait faire passer les gens d'une grimace à un sourire avec ses manières simples. Si les paroles ne suffisaient pas à apaiser les esprits, il était assez rapide et fort pour stopper toute menace avant que quiconque ne soit blessé, et si le besoin s'en faisait sentir, il était rapide à la course. Une fois devenu le responsable de l'Organisation XIII, il apprit à canaliser sa rage en utilisant ses lames, décernées par son défunt père, qui s'avère être à la fois l'un des responsables de l'Organisation avant lui et être en réalité son oncle, son père étant mort il y a bien longtemps à sa naissance. Il apprit aussi à canaliser l'amour de la même manière, avec pour différence que la lame de ses épées virera au blanc lors de ce processus. Mais il déteste cela encore plus que la colère, car dans ces conditions, il peut tuer n'importe qui, innocent ou non. (3.1) Mort de sa mèreLa mère de Victor décéda dans un incendie quand il était très jeune, le laissant avec un sentiment d'abandon qu'il eut à affronter de nouveau à la mort de son père. Avant la mort de sa mère, Victor et son frère Jack Carter jouaient ensemble dehors, construisant des cabanes de bois, ou s'amusant à se battre avec des épées elles mêmes faîtes de bois. Une nuit, un homme pénétra dans la maison, prétendant avoir été roulé par le père de Victor. Perdant son sang-froid, il renversa une bougie alors que Victor et son frère dormaient dans leur chambre. Pendant que l'homme trainait leur père dehors en le frappant, leur mère vint chercher les deux enfants dans la maison en flammes. Mais elle fut brulée vive lorsqu'elle voulut y retourner pour sauver quelque chose. Ses cris ramenèrent l'homme à la raison, qui tenta de la sauver avec l'aide de leur père, mais il n'y parvinrent pas. Réalisant avec horreur et culpabilité ce qu'il avait causé, l'homme s'enfuit en pleurant et hurlant qu'il était désolé. Le père de Victor lui avait expliqué que tout cela était le résultat d'un homme ayant perdu son calme. Jack ignora la leçon, Victor, quant à lui la pris à coeur. Cet événement avait instillé en lui un dégout profond de sa propre colère, si bien qu'il l'étouffait immédiatement chaque fois qu'elle faisait mine d’apparaître. Victor découvrira plus tard que sa mère était retournée dans la maison pour sauver Flammèche, un petit chat dont toute la famille ignorait l'existence. (3.2) Les premières annéesIl naquit le 24 Juin de l'an *, étant le second fils de Hector Carter et de sa femme Patricia. Jusqu'à l'âge de 17 ans, il menait une vie luxueuse dans les branches de la noblesse de Gilnéas tout en n'ayant aucune idée de l'allégeance de son père à l'Ordre des Treize. Durant ce temps, son père, un aristocrate Gilnéen, l'initiait au monde de la finance. Mais Hector, son père, fut victime d'un complot orchestré par un groupe d'assassins. Après la mort de son père, Victor, portant les habits et les armes de son père, à soif de vengeance. Pendant douze ans, sera initié à devenir un Assassin, et pendant vingt-trois ans, il va tenter de laisser sa soif de vengeance de côté après avoir prit conscience et tenter de libérer ce monde de la corruption tout en suivant les principes de l'Organisation. (3.3) L'enfance de VictorVictor a passé la plus grande partie de son enfance dans les bois, devenant ainsi très pointu dans la connaissance des plantes, de par leurs aspects sinon de par leurs noms. Il apprit aussi à connaitre tous les sentiers, cachés ou non, des bois de Gilnéas, et même ceux des pins argentés, qui devinrent rapidement un second chez-lui, bien qu'il ne s'approcha que très rarement de la frontière. Tout petit, son amie Lucie l'amenait dans les bois pour des parties de chasse aux herbes, lui montrant lesquelles chercher, où elles poussaient, lui apprenant comment et pourquoi mettre des noms sur tout ce qu'il voyait. Depuis son jeune âge, Victor adorait passer du temps avec Lucie quand son père était au loin, et il aimait tout particulièrement ses compte-rendus de randonnées, toujours parsemés de sagesse. Un jour, alors que Victor avait tout juste dix ans, son père revint d'un de ses voyages. Il ramenait un livre qu'il confia à Victor, lui demandant d'en être le gardien et le protecteur, le grimoire de "La Magie Recensée". Durant trois années, le jeune Victor dû en apprendre le contenu par coeur, avant de le brûler. Ce fait marqua la fin de l'enfance de Victor, et le laissa avec la responsabilité de toujours garder le livre en mémoire, ce qu'il voyait comme un honneur. Avec le livre, Bastien Carter lui donna une grosse dent triangulaire, preuve qu'il était désormais le véritable gardien du livre, et que ce dernier n'avait pas été volé, mais sauvé pour le préserver. Le perdre ferait de son père un voleur, aussi Victor en fit-il un pendentif qu'il portait autour du cou afin d'éviter de le perdre. Son couteau, son sac de voyage, son manteau de forestier, et cette dent, faisaient partie de ses biens les plus précieux. Environ deux ans après son arrivée en Hautebrande, Victor quitta la demeure familiale afin de construire sa propre maison, mais rendait régulièrement visite à son père, au contraire de son grand frère Jack. Victor était souvent frustré par les régulières pointes de moquerie assénées par son frère, mais les ignorait, considérant cela comme une marque d'attention. Victor devint guide forestier, peu après son départ, s'étant habitué à Arathi. Guidant les voyageurs à travers les bois des contreforts et les pleines vertes d'Arathi. La plupart d'entre eux étaient des dignitaires désirant simplement le prestige d'un guide local, plus qu'une aide pour voyager. En tant que guide, il jouait souvent à des jeux de piste avec les autres guides, voyant à quelle distance ils pouvaient se suivre sans se faire repérer. Victor était très doué, à la fois pour traquer et repérer. Pour éviter d'être suivis, feintait de manière à se faufiler derrière son poursuivant. Il passait souvent ses nuits à l'abri de la pluie auprès de ses compagnons, non loin des remparts, affilés en profondeur du port de Stromgarde, tout près des collines. Il vivait dans une maison de bois, construite de ses mains, dans les bois au-dessus de la ville. Il aimait cuisiner pour lui-même, dans l'âtre, et s'assoir dans son fauteuil favoris, qui avait un grincement si particulier qui faisait sa personnalité, qu'il n'avait jamais pu se résoudre à réparer. (3.4) Mort de son pèreQuelques semaines plus tard, son frère envoya une lettre à Victor, lui apprenant le meurtre de leur père. Il prévint celui-ci (Victor) de ne pas se rendre dans la maison, mais refusant d'écouter, ce dernier s'y précipita. Voulant lui épargner l'horreur, les personnes sur place tentèrent de l'empêcher d'entrer. Il fut abasourdi par l'état de destruction de la maison et ce qu'il restait du corps sanguinolent de son père. Le seul objet intact était un grand saladier portant un couvercle qu'il avait fabriqué étant enfant, et que son père utilisait pour laisser des messages quand il était en voyage. À l'intérieur, Victor découvrit un message, laissant entre les mains de Victor une dite organisation et une armure de cuir rouge sanguinolente. La mort de son père, ainsi que d'autres évènements étranges, apportèrent des rumeurs parlant des choses magiques venant des frontières des bois argentés. Le chagrin submergea Victor et bien qu'étant maintenant un homme, et ayant toujours un frère, il se sentait seul et orphelin. Celui-ci dans un acte de folie (Jack) le mordu au cou, depuis Victor et Jack ne se reparlèrent, ils n'en eurent l'occasion. (3.5) SimilitudeVictor ne prit pas part à la recherche de l'assassin de son père, principalement à cause de l'intervention de Miguel. En contrepartie, il partit à la recherche de cette Organisation qui lui avait été transmise, cherchant les moindres indices pouvant le mener sur les traces de ses ancêtres, comme le lui avait expliqué son père... Quelque chose lui disait qu'il savait quelque chose à propos de la raison de la mort de son père, mais il attribuait cela au chagrin lui jouant des tours... Il partit boire un verre dans l'Auberge d'Austrivage puis prit une chambre pour la nuit, il s'y endormit par la suite. C'est à son réveil que Victor se retrouve dans la plage des clairières de Tirisfal sans savoir où il se trouve ni qui il est... (3.6) [Livre] Codex d'Edouard Carter- Spoiler:
En l'an -67, l'Assassin Edouard Carter devient le nouveau Mentor des Treize et prend la tête de l'Ordre, entrant en possession de l'une des Orbes inconnues des mortels à ce jour. C'est à la suite de ces deux évènements qu'il commencera à écrire le Codex, qui représente en quelque sorte ses mémoires et dans lequel il dessina de nouvelles armes inédites et tactiques d'assassinat. Première pageCela fait plusieurs jours que je suis en possession de cette relique. Peut-être même des semaines. Ou bien des mois? Je ne suis plus sûr de rien... Parfois, les autres me rendent visite. Ils m'apportent de la nourriture et une distraction. Selon eux, je ne devrais pas autant m'investir... Enzo m'a même suggéré de renoncer. Mais il n'en est pas question. Je dois percer le mystère de cette relique. Il le faut... S'agit-il d'une arme? D'un registre? Est-elle un peu des deux? "Car avec beaucoup de sagesse, on a beaucoup de chagrin..." La philosophie d'un tel postulat m'est familière... mais elle émane d'une société qui a livré des guerres en brandissant des idées plutôt que des épées. Alors est-ce la vérité. Celle à laquelle je dois me fier?
Sa fonction est simple. Élémentaire, dirais-je. La domination. Le contrôle. Son fonctionnement, en revanche... ce sont les méthodes et les moyens pour y parvenir qui sont FASCINANTS. Quiconque succombe à sa lumière voit ses désire exaucés. Elle ne demande qu'une choses en retour: une obéissance aveugle et sans conditions. Comment résister? Cette relique est la tentation incarnée.
Je me rappelle mes moments de faiblesse, ma confiance ébranlée par les mots de mon maître. Lui qui avait été comme un père pour moi, s'était finalement révélé être mon pire ennemi. Il aura suffi que le doute s'insinue en moi, ne serais-ce qu'un instant, pour qu'il contrôle mon esprit avec cette relique. Mais j'ai triomphé du mal, retrouvé ma confiance... et envoyé mon maître dans l'autre monde. Je me suis libéré de mes chaînes. Et maintenant, je m'interroge... suis-je vraiment libre? Je suis là, tentant désespérément de comprendre les rouages d'un objet que j'ai juré de détruire.
La raison est simple: La relique a des choses à dire. Je ressens un léger frémissement, il annonce quelque chose d'important, et de dangereux. Nous sommes tous en danger. Il est de mon devoir d'y remédier. Je ne peux pas renoncer avant d'avoir découvert la vérité. Il n'en est pas question.Deuxième et troisième pagesIl n'y a rien d'écrits sur les deuxième et troisième pages, mais quelques dessins : Page 02: Vierge, effacé. Page 03: Shémas des mécanismes de Lame Secrète en éclaté Quatrième PageCe qui suit est une énumérations des grands paradoxes de l'ordre: (1) Nous aspirons à la paix, mais nous tentons d'y parvenir par le crime. (2) Nous aspirons à libérer l'esprit des hommes, mais nous obéissons nous-mêmes à un maître et nous nous soumettons à un ensemble de règles. (3) Nous aspirons à dénoncer les dangers d'une foi aveugle, mais nous suivons nos propres préceptes les yeux fermés. Je n'ai aucune explication satisfaisante à apporter, je puis seulement m'interroger... Transgressons-nous nos principes pour servir une cause plus noble? Et si tel est le cas, qu'est-ce que cela fait de nous? Des menteurs? Des imposteurs? Des faibles? Nous passons chaque seconde de notre vie à nous débattre avec ces contradictions, et en dépit de toutes ces années passées à méditer sur la question, je n'ai toujours aucune réponse acceptable à formuler... si tant est qu'une telle réponse existe. "Rien est vrai. Tout est permis". Et si la réponse était dans notre credo? Une vérité et son contraire peuvent-elles coexister? Après tout, pourquoi pas? n'en suis-je pas la preuve vivante? Nos intentions sont nobles, mais nous recourons à des moyens barbares. Nous célébrons le caractère sacré de la vie, mais nous prenons celle de nos ennemis.Cinquième pageQui sont Ceux-qui-était-là-avant ? Qu'est-ce qui les a amenés ici? Et quand sont-il arrivés? Il y a cent ans? Mille ans? Peut-être plus? Il ne reste pratiquement aucune trace de leur passage. Que sont ces reliques ? Des bouteilles jetées à la mer? Des instruments destinés à nous aider et nous guider? Ou bien sommes-nous en train de nous battre pour le contrôle de quelques objets sans importance qu'ils auraient laissés derrière eux?Sixième pageGeorges, le provocateur est peut-être mort, mais sa Confrérie a survécu. Plus discrète en apparance, je crains toutefois qu'elle ne représente toujours une menace. Autrefois, ses membres déambulaient fièrement dans les rues, ce qui faisait des cibles faciles, mais aujourd'hui, ils agissent dans l'ombre et il devient de plus en plus difficle de les traquer. Quel complot pernicieux fomentent-ils dans le plus grand secret? Notre tâche s'en trouve d'autant plus ardue. Déjà les rumeurs d'une expédition se précisent. Je dois en savoir plus... Ce constat m'a fait réaliser que nos tactiques doivent elles aussi évoluer. Il n'est plus question de nous retrancher dans nos forteresses. Ni d'assassiner nos cibles sous les yeux de tous. Nous devons tisser notre toile à l'abri des regards. Et cesser d'agir dans la continuité du passé. Si j'attend de nos frères qu'ils renoncent à leurs rituels, en revanche, je ne leur demande pas de renoncer à notre credo. C'est LUI qui fait de nous des Assassins. Pas le doigt qu'on nous sectionne. Pas les vaines promesses d'une vie meilleur après la mort. Ni même l'interdiction d'utiliser du poison . Nous agissons dans l'intérêt du peuple, pas pour préserver nos coutumes. Si la prudence est de mise, nous nous montrerons discrets. S'il nous faut recourir à quelque poison, nous n'hésiterons plus. Si nous pouvons utiliser notre lame secrète sans qu'il soit besoin de nous sectionner le doigt, alors soit. Nous ne manipulerons plus nos disiples par le mensonge et la ruse. Nous nous exprimerons clairement et honnêtement. Ce sera en quelque sorte notre renaissance...Septième pageJ'avais cru que Aurore serait celle qui apaiserait mon âme, que grâce à elle, je pourrais déposer les armes et mener une vie normale. Je sais aujourd'hui que les rêves ne sont pas fait pour être vécus...Son visage. J'essaie de le chasser de mon esprit. Je me vois encore à bord de mon bateau, pourchassant les membres de la Confrérie qui l'avaient capturée, naviguant sans relâche jour et nuit. J'ai presque failli les rattraper. Presque. Si seulement j'avais été plus rapide... J'ai tenu son corps sans vie dans mes bras. Je n'oublirai jamais son regard éteint et horrifié... J'ai traqué tous les responsables de sa mort, les uns après les autres, jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un seul dans ce monde. Mais je n'en ai retiré aucun plaisir. Aucune satisfaction. Aucun soulagement. Leur mort ne ma l'a pas ramenée. La vengeance n'a pas cicatrisé mes blessures. Après cela, j'ai cru que plus jamais je ne pourrais ressentir la même chose pour une autre femme.
Par chance, j'avais tort.Huitième pagePourquoi notre instinct nous incite-t-il à la violence? J'ai observé les interactions entre les différentes espèces. C'est à croire que notre besoin inné de survivre passe nécessairement pas l'élimination d'autrui. Pourquoi ne pas affronter ensemble l'adversité? Nombreux sont ceux qui pensent que le monde a été créé par des forces divines. Mais seul un fou peut en être à l'origine, un fou qui ne jure que par la mort, la destruction et la désolation. Nos origines semblent chaotiques, fortuites. Notre finalité, nous ne la comprenons qu'avec le temps qui passe. C'est la nature qui la dicte et, plus tard seulement, les hommes.Neuvième pageIl suffit de répéter une phrase assez souvent et assez fort pour qu'elle devienne une vérité. Du moins, si elle survit à ses détracteurs. Mais, si on parvient à les réduire au silence, alors ce qui reste est, par default, considéré comme vrai. De façon objective, peut-on considérer qu'il s'agit de la vérité? Non. D'ailleurs, est-il vraiment possible d'exprimer un point de vue objectif? Là aussi, la réponse est non. C'est littéralement et physiquement impossible. Il y a trop de variables. Trop de données et de formules à prendre en compte. Bien sûr, on peut essayer. On peut se rapprocher petit à petit de la révélation. Mais l'atteindre, jamais... Je suis convaincu que tant que les membres de la confrérie existerons, ils tenteront de déformer la réalité pour mieux l'adapter à leur ambitions. Ils sont conscients que la vérité absolue n'existe pas. Du moins, ils savent que, quand bien même elle existerait, nous n'aurions pas le bagage nécessaire pour l'interpréter. Il cherchent donc à imposer leur propre version. Voila sur quoi repose leur prétendu "Nouvel ordre mondial". Ce qu'ils veulent, c'est remodeler notre existence à leur image. Les reliques n'ont rien à voir la-dedans. Les hommes non plus. Ce ne sont que des outils. Ce sont les concepts qui importent. C'est très rusé de leur part. En effet, comment déclarer la guerre à un concept?
C'est l'arme parfaite. Elle n'a pas pris forme physique, mais elle peut altérer notre environnement de bien des façons, violentes, pour la plupart. On ne peut pas tuer une croyance. Même si on tue ceux qui l'adoptent, même si on détruit les textes qui l'entretiennent, on ne gagne qu'un court répit. Un jour, quelqu'un s'y interessera de nouveau, la réinventera. Ma conviction est que nous, les Treize, avons simplement redécouvert un Ordre qui existait bien avant l'arrivée du Vieil Homme...Dixième pageLes pouvoirs de la relique: *Page arrachée* Onzième pageAlexstrasza, Neltharion, Malygos, Nozdormu, Ysera. Leurs existences présentent tant de simulitudes. Etrange coïncidences. Et s'il s'agissait de la même histoire qui aurait traversé les siècles? Une sorte d'emprunt, simplement remit au goût du jour, qui aurait évolué, tout comme nos outils et notre langue... Le récit de leur vie est-il basé sur des faits ou a-t-il été inventé? Un peu des deux, peut-être... Ces personnages pourrait-ils être qu'une seule et même personne, dont l'existence aurait été prolongée et transformée par un Fragment de cette relique? Aux yeux de mon maître, Neltharion était un homme comme les autres et non pas un dragon, un simple mortel qui excellait dans l'art de la manipulation. Avait-il raison? Et si ces hommes sont réels, s'ils ont déjà vécu parmis nous à plusieurs reprises, cela signifie-t-il qu'ils reviendrons? Peut-être sont-ils déjà là? Des questions... chaque jour de nouvelles questions... Douzième pageL'héliocentrisme et le cycle des saisonsTreizième pageLa lame secrète nous a accompagnés, toutes ces années. Certains disent même qu'elle nous caractérise. Ils n'ont pas entièrement tort. Nous lui devons nombre de nos succès. Pourtant, cette arme semble avoir fait son temps. J'ai effectué des recherches dans le but de l'améliorer, mais aussi pour éviter à ceux qui l'utilise d'avoir à se couper un doigt. J'ai commencé par ajouter une plaque pour repousser les attaques. Les autres assassins pensent qu'elle est faite d'un nouveau métal, dont ils me croient l'inventeur. Mieux vaut qu'ils ne sachent pas la vérité. Grâce à la collaboration de Enzo, j'ai également décrit de nouvelles méthodes d'assassinat: depuis des zones en hauteur, suspendu à une corniche, ou depuis une cachette. Des techniques simples, mais qui peuvent s'avérer décisives. Enfin, la dernière amélioration, la plus simple, concerne l'ajout d'une seconde lame en tous point identique à la première. Si un assassin doit se débarrasser de deux cibles à la fois, il lui suffit de bien préparer son attaque et il a toutes les chances de parvenir à ses fins. Ces lames n'existent qu'en nombre limité, le métal qui nous sert à les forger étant très difficile à trouver. Tout le monde ne sera donc pas autorisé à les utiliser...Quatorzième pageL'homme cherche à dominer ce qui l'entoure. Je suppose qu'il est dans notre nature de vouloir exercer une emprise sur notre environnement, mais cela ne devrait pas s'étendre aux autres êtres humains... Pourtant, chaque jour, certains son contraints, par la force ou par la ruse, de servir un maître. D'autres, qui jouissent encore de leur liberté, sont amenés à croire que leur vie n'a aucune valeur. J'ai vu comment les hommes persécutent les femmes. J'ai entendu les mots cruels adressés à ceux qui arrivent de pays étrangers. J'ai vu comment on traite ceux qui ne partagent pas la même foi. Et ceux qui se comportent différemment... Nous abordons souvent ces sujets quand nous montons la garde sur les hauteur de Elwynn. Que peut-on faire pour y remédier? Doit-on encourager la tolérence et l'égalité? Parfois, nous parlons d'éducation, et nous croyons que la connaissance nous protégera contre l'immoralité. Mais quand je marche dans les rues et que je vois des esclaves sur le point d'être vendus, mon coeur saigne. Quand je vois un mari insulter et lapider sa femme en lui expliquant qu'elle n'est là que pour le servir, je serre les poings. Et quand je vois des enfants, arrachés à leur parents, être exploités avant de mourir sous le soleil du désert de Kalimdor...
... Aujourd'hui, je ne pense pas que le dialogue serve à quoi que ce soit. Aujourd'hui, tout ce qui m'importe, c'est de punir les auteurs de ces crimes.Quinzième page*Page arrachée* Seizième pageLa relique est une sorte de catalogue de ce qui nous a précédé. Et dans ses entrailles tortueuses et aveuglantes, j'ai entrevu l'avenir. Une telle chose ne devrait pas être possible. D'ailleurs, il ne s'agit peut-être que d'une illusion. Comment le savoir? Comment en être sûr? Je songe aux répercussions de ces visions: ces images évoquent-elles ce que sera notre avenir, ou simplement ce qu'il pourrait être? Pouvons-nous le changer? Devons-nous essayer? Et, dès lors, comment être sûr que ce que nous avons vu se réalisera? Je suis, comme toujours, tiraillé entre action et inaction. J'ignore comment changer le cours des choses, si tant est que ce soit possible. D'ailleurs, suis-je là pour çà? Je continue de rédiger ce journal. N'est-ce pas là une tentative de changer, ou du moin d'avérer, ce que j'ai vu?Dix-septième pageDe toutes les choses que j'ai vues, ce sont les images des flammes qui m'ont le plus impréssionné... Des piliers si hauts qu'ils semblaient toucher le ciel. Le sol qui grondait, qui vibrait. Les montagnes qui se fissuraient, se déchiraient. Les grandes tours de métal brisées en éclats, leurs entrailles répendues à même le sol. Et partout des cris. Un choeur si terrifiant qu'aujourd'hui encore j'entend son écho.Quelle est cette folie dont j'ai été témoin? Sont-ils derrière tout ça? Ceux-qui-était-là-avant... Est-ce ainsi qu'ils ont disparu? Dans le feu? Dans la poussière? C'est peut-être après ce pouvoir destructeur que courent les membres de la confrérie. Avec une telle puissance, notre dévotion leur serait acquise. Quel espoir resterait-il alors? Avec cette abomination entre les mains, ils pourraient plonger le monde dans les ténèbres.Dix-huitième pageNous sommes contraints de nous cacher. De demeurer silencieux. De façonner l'histoire en secret. Certains de nos frères ont exprimé leur désaccord. Ils sont en colère. Pour eux, rester dans l'ombre est erreur. Cela ralentit notre travail. Mais ils ne connaissent pas les risques. S'exposer serait beaucoup trop dangereux. On nous prendrait pour des illuminés, on nous attaquerait. C'est ainsi. Ça l'a toujours été. S'il y a une chose que j'ai apprise, c'est que, quand on parle aux hommes, ils ne comprennent pas. Il faut leur montrer. Il faut qu'ils puissent eux-même établir des relations. Si je disais à un homme: "sois dévoué, sois tolérant, ouvre ton esprit...", il oublirait mes paroles et aucun changement ne se produirait. Ce serait peine perdue. Voilà pourquoi nous devons maintenir le cap.Dix-neuvième page L'armure d'Edouard Une légende mentionne la Toison d'or. Pourrait-il y avoir un lien entre les deux? J'ai continué d'affiner le processus de transformation du métal, et je suis parvenu à fabriquer une armure d'une qualité encore inégalée. Sa solidité est exeptionnelle, et pourtant elle reste très légère et ne gêne pas les mouvements. Je suis à la fois émerveillé et terrifié. Nous avons créé une armure qui pourrait changer toutes les guerres à venir, en rendant ceux qui la portent pratiquement invincibles. J'ai peut-être fait une erreur en fabriquant ces pièces de protection. Mieux détruire toutes ces formules. Que se passerait-il si elles tombaient entre les mains de nos ennemis? C'est beaucoup trop risqué.Vingtième pageJ'ai étudié les anciennes croyances humaines comme draconiennes, celles qui existaient avant qui l'Humanité ne soit obsédée par un Créateur unique et divin. Elles semblaient s'intéresser plus aux forces fondamentales qui gouvernent le monde qui nous entoure qu'à des principes moraux arbitraires...Le soleil se lève le matin et se couche le soir. La marée monte et descend. L'herbe pousse, se flétrit, meurt, avant de repousser. L'air se réchauffe et se refroidi. Une force inconnue nous retient au sol et nous empêche de le quitter. Auparavant, chacun de ces phénomènes était représenté par une divinité. Chacune avait un visage, était identifiée comme une force distincte et d'une grande puissance. Ces forces individuelles n'étaient pas moins liées entre elles, elles formaient un panthéon d'esprits. Ainsi, une main invisible veillait au développement du monde. Ensuite, l'humanité a tenté d'établir des catégories, d'étudier, d'expliquer et de comprendre ces mécanismes, certes de façon imparfaite. Cette époque est révolue. Aujourd'hui, on nous demande de nous satisfaire d'une explication beaucoup plus simple. Quelle naïveté de penser qu'il existe une réponse unique à chaque question, à chaque mystère. Qu'une lumière divine gouverne tout. On nous dit que cette lumière apporte la vérité et l'amour. Moi, je di qu'elle nous aveugle est nous maintient dans l'ignorance. Si seulement, un jour, l'homme pouvait se détacher de ces monstres invisibles et adopter de nouveau une conception plus rationnelle du monde. Ces nouvelles religions sont si aisées à pratiquer, et ceux qui les rejettent sont promis à des tourments si terribles. La peur pourrait nous forcer à croire en ce qui est assurément le plus grand mensonge de tous les temps.Vingt-et-unième pageLa lame empoisonnée On peut se servir d'extraits de plantes qu'on trouve dans la région. Il est également possible de se procurer des espèces plus rares auprès de marchands et de voyageurs, mais leurs propriétés sont moins bien connues; un examen plus approfondi est donc nécessaire. Un matériel d'alchimie classique peut être utilisé pour distiller le poison. Il convient de prendre certaines précautions, car certains poisons sont directement absorbés par la peau. Nombreux sont ceux qui ont été victimes de leur imprudence. La lame doit être évidée, en respectant les indications précisées ici. Toute déviation peut créer des fissures dans le métal suseptibles d'affaiblir la lame ou même de provoquer sa rupture.Vingt-deuxième pageCarte de Azeroth selon Edouard *Page arrachée* Vingt-troisième pageTechniques de déplacements des Treize *Page arrachée* Vingt-quatrième pageCertains jours, ma famille me manque... ma famille, ou plutôt le souvenir que j'en ai. Je n'ai pas vraiment connus mes parents, même si nous vivions tous ici. C'était ainsi. Cela les a peut-être affectés, même s'ils ne l'ont jamais montré. Nous n'avions pas le droit de vivre ensemble. J'ai passé la plus grande partie de mon enfance à m'entraîner, j'ai donc rarement eu le temps de réfléchir à cette séparation. J'ai fini par oublier mes parents, par les considérer comme des étrangers. Mon maître était devenu un père pour moi. Si l'amour qu'il me portait était fragile et perfide, cela semblait me suffire. C'était peut-être mieux ainsi. C'est du moins ce que je pensais. Un jour, je serai père. Ainsi le veut notre Ordre. Mais je ne ferai pas la même erreur. Et j'espère que les autres assassins m'imiterons. Nous devons avoir le droit d'aimer nos enfants et d'être aimés en retour. Mon maître croyait que de tels liens ne pouvaient que nous affaiblir, nous feraient chanceler quand nos vies seraient en danger. Mais si nous nous battons pour ce qui est juste, pour ceux que nous aimons, cela ne suffit-il pas à justifier notre sacrifice?Vingt-cinquième page*Page arrachée* Vingt-sixième pageMaintenant, je connais la réponse. Je connais la vérité. Plus jamais je ne toucherai ce maudit objet. Et personne ne devrait s'en approcher à l'avenir. J'ai essayé, enfin, de le détruire, mais on ne peut ni le déformer, ni le briser, ni le faire fondre. Comble de l'ironie, je suis sûr que si je lui demandais comment faire, la relique me le dirait. Mais cette perspéctive ne me rassure pas non plus. Elle a toujours quelque chose à offrir. Je ne dois pas céder. La relique doit être placée en lieu sûr. Nous allons la cacher sur l'île, celle qui leur appartenait, et qui est à nous désormais. Il y a un trésor là-bas, à l'abri des regards. Cela devrait suffire. Certains risquent de découvrir que je me suis séparé de la relique... Mais il serait encore plus risqué de la conserver. Elle finira par me tenter. Je suis faible. Nous le sommes tous. Comment ne pas succomber? Oh, les choses que j'ai vues... Tout est décrit ici, dans le texte. Pas entre les lignes, mais derrière elles. Là où nos yeux s'efforcent de voir la vérité. Découvrez-le par vous-même. Tentez de réussir là où j'ai éhoué, comme bien d'autres. Le monde évolue, le progrès amène de nouvelle découvertes. Un jour, enfin, la porte pourra être ouverte et le message délivré. Alors, ils auront leur Prophète.Vingt-septième pageNous sommes de plus en plus nombreux. Chaque jour, des hommes et des femmes affluent vers notre forteresse. Jeunes ou vieux. Ils viennent de partout et ne sont pas de la même race, mais tous sont là pour la même raison. La première partie de notre credo leur a été révélé: rien n'est vrai. Trop souvent, pourtant, cette révélation les conduit à leur perte. Ils perdent leur probité, leurs certititudes, leur bien-être. Certains deviennent fous. Nous devons les guider, les aider à guérir. Leurs esprits ne doivent pas être troublés par de nouvelles chimères, mais éclairés par la connaissance. Donnons-leur les réponses, même si ces réponses sont complexes et peu limpides. À l'image de la vie.Vingt-huitième pagePlan de fabrication du Pistolet caché Nous avons réussi ! Nous avons trouvé un moyen de modifier la structure de la lame secrète. Elle peut maintenant lancer de petit projectiles capable de causer de sèrieux dommages, même de loin. Je l'avoue, j'ai dû prendre certains risque pour parvenir à cette découverte... c'est le moins qu'on puisse dire. Mais je sais maintenant que la relique, utilisée avec parcimonie et assurance, n'a pas que des effets néfastes. Du moins, je l'espère. La science des projectiles ne nous est pas inconnue. Nous avons déjà observées les applications chez nos voisins, les orcs. Cependant, leur armement, beaucoup trop volumineux, ne répond pas à nos besoins. J'ai trouvé un moyen de les miniaturiser et de créer une arme tout aussi dangereuse, mais pouvant être portée autour du poignet. Nous avons aussi améliorée la formule de la poudre qui provoque la combustion. On peut maintenant la fabriquer à partir d'ingrédients usuels. Cette science n'est pas sans dangers. Seuls nos alliés les plus proches doivent avoir connaissance de tout ceci...Vingt-neuvième pageUne énorme vague menace de déferler venant du Sud, une armée si puissante que tout le pays s'inquiète de son avancée. Son chef est un homme appelé Arthas, qui a pris le titre de "Le Roi-Liche". Il ravage nos contrées, obligeant tous ceux qu'il rencontre à se soumettre. Quelles que soient ses motivations, il faut l'arrêter. Si j'étais plus jeune, je me lancerais dans l'aventure moi-même, en secret, tout cela pourrait être lié à un Fragment de cette fichue relique. Mais ce n'est plus à moi d'agir. Je dois passer le flambeau. Il est temps pour elle et moi de parler à nos fils. Nous nous rendrons là-bas ensemble pour vérifier qu'ils sont dignes de me succéder. Ensuite, ils éradiqueront cette menace.Trentième pageBientôt mon heure viendra et je quitterai ce monde. Cette pensée et la peur qui m'inspire, envahit tous les instants de ma vie. Je sais que mon corps retournera à la terre. Mais qu'adviendra-t-il de mon âme? De mon identité? Qu'adviendra-t-il de Moi? Je suppose qu'il n'en restera rien, qu'il n'y a pas d'autre monde, ni de retour possible dans celui-ci. Je disparaîtrai. À jamais. Nos vies sont si brèves et si insignifiantes. Dans le cosmos, nous ne représentons rien. Peu importe ce que nous y avons fait. Peu importe si nous avons choisi le mal plutôt que le bien, si j'ai choisi de cacher la Pomme plutôt que de l'utiliser. Rien de tout cela n'a d'importance. Personne ne nous demandera de rendre des comptes. Il n'y a pas de jugement dernier. Juste le silence. Et les ténèbres. Profondes et absolues... Alors, j'ai commencé à me poser la question: n'y aurait-il pas un moyen d'échapper à la mort, ou de la retarder? Ceux-qui-était-là-avant étaient probablement moins faibles que nous. J'ai juré d'en finir avec cette relique, j'ai juré de ne pas poser mes yeux sur son coeur. Pourtant, maintenant que je sais que ma fin est proche, je me dis qu'il n'y a pas de mal à la contempler une dernière fois... (4) Résumé du personnageVictor est d'une loyauté sans faille, s'engageant souvent corps et âme dans un combat pour sauver ses hommes, amis ou gens innocents. Il serait prêt à mourir pour sauver quiconque mérite de vivre. Il est incomparable au combat, et "danse avec la mort" en se laissant guider par les connaissances de ses ancêtres et précédents assassins de l'Organisation. (5) Les amours de Victor• Lucie Carter charmante femme issue de la petite noblesse d'Hurlevent, fut son premier amour. Mais elle mourut tragiquement en l'an 22. Victor cru qu'il ne retrouverais jamais un amour véritable comme Lucie.
• Marluxia Walde, membre des Treize, avec qui il eut sans doute une liaison, mais sans amour véritable.
• Catherine de Velladolid, comtesse de Lordaeron, avec qui Victor pensa trouver un amour véritable, mais elle se servit des sentiments de ce dernier pour influencer les Treize à sa cause. (6) Victor en imageMasqué : Démasqué : (7) [Info Supplémentaire] L'organisation XIII- Spoiler:
Les XIII est un ordre dont l’origine remonte à la nuit des temps, les membres sont une organisation secrète mondiale qui veille à protéger le libre arbitre de l’Humanité. Leur idéologie repose sur l’idée que seuls le libre arbitre et le développement de chaque individu peuvent faire progresser l’Humanité entière. C’est ainsi qu’elle produit des innovations et des nouvelles idées. L’Organisation est consciente que le libre arbitre a un prix et qu’il peut avoir de dangereuses conséquences, mais il part du principe que ces risques sont mineurs par rapport à la menace de perdre toute liberté de choix.
L’Organisation ne s’attend pas à ce que l’Humanité atteigne un état de perfection. Après tout, le progrès n’est envisageable qu’en apprenant des erreurs commises. Cependant, les XIII espèrent qu’un jour l’Humanité pourra atteindre cet état idéal en s’ouvrant à tous les savoirs et en laissant libre court à l’expression individuelle. C’est cette idéologie qui les a poussés à s’opposer au "Chaos" (Le mal) tout au long de leur histoire et à dresser contre eux une puissante organisation miroir pour qui le meilleur moyen d’assurer la survie de l’Humanité est d’exalter le libre arbitre de chacun. Alors que le Chaos s’infiltre aux plus hauts niveaux de la société pour occuper des postes clés et fédérer de puissants alliés, les XIII préfèrent la discrétion et le secret pour recruter de nouveaux membres et rallier à leur cause d’influents combattants et partisans.
Les XIII travaillaient dans l’ombre, mais la population des zones où ils opéraient était consciente de leur existence. Cependant, la présence grandissante du Chaos au sein des groupes les plus puissants conduisit lentement les membres de l’Organisation à se réfugier dans la solitude,à présent nichés dans les montagnes d'Alterac. Ils ont été contraint de se tenir à l’écart d’un monde qui oublia peu à peu leur existence.
Même si les membres d’aujourd’hui ne sont plus les mêmes que ceux d’hier, ils travaillent toujours dans l’ombre pour mener à bien leur mission, tout en échappant à la traque incessante du mal. L’histoire de l'Organisation traite de rébellion contre la tyrannie et de préservation de la liberté humaine. L'Organisation des treize existe probablement depuis l’aube de l’humanité et mène une guerre clandestine contre les ennemis de l'Organisation, en partie le Chaos. Leur capacité d’adaptation et leur discrétion leur ont permis de survivre au fil des siècles, et si leurs méthodes ont évoluées avec le temps, leur idéologie a toujours été consacrée à la préservation du libre arbitre.
(PS) Il faut savoir que l'Organisation ne sera pas reprise ici, c'est juste pour que vous soyez au courant de qui étaient les Treize. Ce personnage est un ancien personnage que j'ai décidé de reprendre sur ce serveur. (Rajout) Liste d'équipementTête : http://fr.wowhead.com/item=10024 Épaules : http://fr.wowhead.com/item=43481 Dos : http://fr.wowhead.com/item=51994 Torse : http://fr.wowhead.com/item=48219 Chemise : http://fr.wowhead.com/item=859 Tabard : http://fr.wowhead.com/item=45983 Mains : http://fr.wowhead.com/item=6586 Taille : http://fr.wowhead.com/item=6581 Jambes : http://fr.wowhead.com/item=46144 Pieds : http://fr.wowhead.com/item=25717 Lames : http://fr.wowhead.com/item=42285OU ANCIENNEMENT (Comme cité dans le Background) :Tête : http://fr.wowhead.com/item=16908Épaules : http://fr.wowhead.com/item=34613Dos : http://fr.wowhead.com/item=19398 ou http://fr.wowhead.com/item=29382Chemise : http://fr.wowhead.com/item=4330Tabard : http://fr.wowhead.com/item=51534(SET ENTIER excepté épaules): http://fr.wowhead.com/itemset=-100Taille : http://fr.wowhead.com/item=41832Pieds : http://fr.wowhead.com/item=41836Lames : http://fr.wowhead.com/item=17705---____ Merci de m'avoir lu, bonne journée à tous. Cordialement, Victor. |
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